Helping Hand Belgium : parrainage des enfants au Bangladesh

Lilian va régulièrement visiter la maison et/ou l'école de chaque enfant parrainé. Nous vous ferons part dans ce blog de ses visites individuelles. Commençons par Thithi ADHIKARY Thithi est la petite fille au centre de la photo. Elle a bien grandit depuis la visite de Thierry en novembre dernier, ses cheveux ont poussés. Elle vit avec ses deux grandes sœurs qui se nomment Krepa et Phalguni, elle n'a pas de frère. L'homme sur la photo est son oncle, au moment où Lilian lui a rendu visite, ses deux parents travaillaient en ville. Ils vivent donc à six dans cet appartement que l'on devine en arrière plan. C'est une enfant gaie, intéressée par tout ce qui l'entoure. Elle est bonne élève, son école se nomme Baterlian public school, les cours s'y donnent de 9h du matin à 3h30 l'après midi. Il n'y a q'un seul jour de congé par semaine, le vendredi et un seul mois de congés par an, durant le mois de Ramadan. Elle se passionne pour les

Lilian est une passionnée. S'occuper de "ses" enfants est sa principale préoccupation. Elle a trouvé une école dont elle peut à certains moments occuper une salle de classe équipée pour accueillir tout son petit monde. Elle est aidée par Sajul et par Joy. Nous publierons d'ici peu certains des dessins que les enfants sont en train de réaliser, nous savons qu'un colis est en route. Les photos sont cliquables pour être visionnées en meilleure définition.

Il suffit de prononcer le nom d'Orval pour que les amateurs de bière lèvent le sourcil et tendent l'oreille. L'Abbaye d'Orval, dans sa version contemporaine, c'est ceci: (cliquez sur la petite icône pour un agrandissement de bonne définition) Et nous avons le grand plaisir de vous annoncer que l'Abbaye est notre partenaire dans le développement d'activités parascolaires à Barisal.

La saison des cyclones a commencé et les enfants tombent malades de par l’atmosphère chargée en permanence.  Arpita a attrapé une fièvre typhoïde. Il ne faut pas s'en alarmer plus que de raison, c'est malheureusement plutôt habituel. Lilian suit de très près la santé de chacun et a réagit à temps en aidant la famille à apporter les soins adéquats. Aux dernières nouvelles, elle va mieux.  Sabbir quant à lui, souffre d'une infection des reins. C'est plus sérieux et on s'attend à ce qu'il lui faille trois mois pour se sentir mieux. Nous donnerons régulièrement des nouvelles des malades.  Syam devrait se rendre prochainement à Dhaka pour le traitement de son oeil. Ce n'est pas une mince affaire, le trajet en bateau prend la nuit, puis il faut se faufiler dans les rues tentaculaires de la capitale. Il sera accompagné par Sajul, qui aide régulièrement Lilian dans son travail. Il est préférable que ce soit un homme qui fasse le déplacement, par sécurit

Voici un second article sur un photographe, belge, qui sillonne le monde pour les plus grandes ONG et qui a plaisir à prendre en photos la beauté de la vérité. François Struzik de Simply Human               ( www.simplyhuman.be ) se fonde dans le décors et regarde la vie comme elle est. Et c'est beau. Voici deux clichés pris au Bangladesh qui me provoquent beaucoup d'émotion. Que fait cet enfant au beau milieu d'une rizière sur le premier cliché? Il n'y a rien à des kilomètres à la ronde, il est venu en empruntant les digues qui séparent les casiers de rizières. Il est probablement pieds nus, il pourrait glisser, tomber, se faire mal, et personne autour pour le secourir. Cette photo apporte un contraste saisissant entre la fragilité de cet enfant face à la Nature qui pourrait se refermer sur lui à chaque instant, et la force de son regard. Il n'a pas peur, il n'est pas pressé et il n'est pas en retard. C'est moi qui ai peur pour lui, c'es

Nous pensons à Helping Hand dix fois par jour, nous voyons le monde au travers du prisme du Bangladesh et lorsque nous lisons un article ou rencontrons une personne, nous ne pouvons nous empêcher de faire un rapprochement avec les enfants parrainés ou avec ce pays qui nous attire tellement. Nous avons rencontré un artiste photographe dont nous voudrions vous faire voir certains de ses clichés. Ces images nous parlent énormément. Des ponts de fortune comme celui-là, nous en avons vu tellement qu'on en vient à ne plus remarquer leur précarité, leur faiblesse face aux éléments naturels, mais leur résistance aussi, car s'il est détruit par une tempête, les bambous seront retrouvés un peu en aval, bloqués par un coude de la rivière, et il suffira de reconstruire. Et cet enfant, tout juste assez grand que pour atteindre la main courante et qui fait un numéro d'équilibriste sans que la famille s'en inquiète. Le cliché nocturne aussi est fascinant, ce garçon