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Articles

Affichage des articles du novembre, 2015

Un petit bonjour à Juliet Jui Baroï

Voici quelques photos de Juliet qui nous sont envoyées par Lilian et son frère Joy. Juliet est l'aînée, sa petite soeur ne va pas encore à l'école. Par rapport au cas de Sakil que nous venons de présenter, la famille est plus solide. Le père et la mère élèvent ensemble leurs deux enfants et depuis cette année, la maman a également un emploi dans un centre de beauté. Un "beauty parlor" au Bangladesh, c'est un salon de coiffure qui propose aussi du maquillage, de la peinture pour les mains et autres soins du visage. Il est interdit pour une femme de travailler dans un salon de coiffure dans lequel les clients sont des hommes. La clientèle du beauty parlor est donc essentiellement féminine. Le papa travaille dans une école. Lilian nous décrit Juliet comme une élève brillante. A droite sur la photo, Joy, le frère de Lilian La famille devant sa maison Juliet en uniforme devant son école

Visite de Sakil

Continuons notre série de visites des enfants parrainés un instant interrompue pour organiser la venue de Jean-Pierre à Barisal. Le père de Sakil a laissé son enfant et sa femme pour refaire sa vie ailleurs. Ce n'est pas un cas isolé, mais ce n'est pas une raison pour en banaliser le fait. Le ménage se compose donc de Sakil, sa maman et sa grand mère, laquelle est trop agée que pour encore travailler. La situation est donc difficile, seule la maman rapporte un salaire à la maison, de part son emploi comme nettoyeuse (pas de technicienne de surface au Bangladesh) dans une école. Lilian nous dit que le revenu de la maman est équivalent à 30 eur par mois. La vie au Bangladesh n'est pas chère, mais cette somme ne leur permet de prendre qu'un seul repas par jour, c'est tout ce qu'il est possible de faire après avoir payé le loyer. La maman souffre de problèmes rénaux, il va falloir prendre des dispositions pour éviter que son état de santé ne se détériore et qu&

Visite de Jean-Pierre Jenet au siège de Helping Hand au Bangladesh

Jean Pierre travaille au nord de Dhaka pour une association qui s'appelle Bangla Boost. Il a trouvé du temps pour venir à Barisal voir les enfants et parler avec Lilian, Cecilia et le reste de l'équipe. Nous avons reçu tellement de photos que nous vous laissons les découvrir tout simplement, sans commentaire. Mon petit doigt me dit que Julie aimerait beaucoup organiser un voyage sur place avec les parrains et marraines qui désireraient l'accompagner (un groupe de maximum 6 à 8 personnes). Toujours selon mon petit doigt, ça pourrait avoir lieu dans deux ans. Qu'en dites-vous?